LES ACCORDS TOLTEQUES deuxième partie

LES ACCORDS TOLTEQUES deuxième partie

Deuxième accord toltèque :

« Quoique qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle. »

Quoiqu’il arrive autour de vous, n’en faites pas une affaire personnelle. Vous faites une affaire personnelle de ce qui vous est dit parce que vous y donnez votre accord. La raison pour laquelle vous vous faites piéger est ce que l’on appelle l’importance personnelle, c’est-à-dire l’importance que l’on se donne, se prendre au sérieux ou faire de tout une affaire personnelle.
Vous n’êtes aucunement responsable de ce que les autres disent ou font. Leurs actions dépendent d’eux-mêmes. Chacun vit dans son propre rêve, dans sa propre tête ; chacun est dans un monde totalement différent de celui dans lequel vous vivez. Lorsque nous faisons de tout une affaire personnelle, nous partons du principe que l’autre sait ce qu’il y a dans notre monde, et nous essayons d’opposer notre monde au sien. Nous pouvons aussi nous sentir offensé et notre réaction consiste à défendre nos croyances, ce qui provoque des conflits.

Ce que les gens disent, ce qu’ils font et les opinions qu’ils émettent dépendent seulement des accords qu’ils ont conclus dans leur propre esprit. Leur point de vue résulte de toute la programmation qu’ils ont subie dans leur enfance.
Même les opinions que nous avons sur nous ne sont pas nécessairement vraies ; nous ne sommes donc pas obligés de réagir personnellement à ce que nous nous disons dans notre tête.

En prenant les choses personnellement, on se programme à souffrir pour rien. Les humains sont d’accord pour s’aider mutuellement à souffrir, ils cherchent une justification à leur souffrance. Leur dépendance à la souffrance n’est en fait qu’un accord qu’ils renforcent chaque jour.

Où que vous alliez, vous découvrirez des gens qui vous mentent et, à mesure que votre conscience augmentera, vous vous rendrez compte que vous vous mentez également à vous-même. Ne vous vous attendez pas à ce que les gens vous disent la vérité, car ils se mentent aussi à eux-mêmes. Vous devez vous faire confiance et choisir de croire ou non ce que l’on vous dit.
Lorsqu’on voit vraiment comment sont les gens, sans réagir de façon personnelle, rien de ce qu’ils peuvent dire ou faire ne peut nous blesser. Même si l’on vous ment, cela ne fait rien. Celui qui agit ainsi le fait car il a peur, peur que vous découvriez qu’il n’est pas parfait. C’est douloureux de retirer son masque social.

Au fur et à mesure que vous prendrez l’habitude de cet accord, les commentaires et actions des gens ne pourront plus vous blesser et vous augmenterez votre capacité à effectuer des choix responsables.

Si vous respectez cet accord, vous pouvez voyager dans le monde entier, le cœur totalement ouvert, et personne ne peut vous blesser. Vous pouvez dire : « Je t’aime » sans crainte du ridicule ou du rejet. Vous pouvez demander ce dont vous avez besoin. Vous pouvez dire « oui » ou « non », selon ce que vous choisissez, sans culpabilité ni jugement de soi. Vous pouvez choisir de toujours suivre votre cœur et vivre dans la paix intérieure et le bonheur.

 

Troisième accord toltèque :

« Ne faites pas de suppositions. »

Nous avons tendance à faire des suppositions à propos de tout. Le problème est qu’ensuite nous croyons qu’elles sont la vérité. Nous faisons des suppositions sur ce que les autres font ou pensent, forts de quoi nous en faisons une affaire personnelle, puis nous leur en voulons et nous leur communiquons du poison émotionnel par nos propos. Nous faisons des suppositions quant aux raisons d’agir d’autrui, nous les interprétons de travers, nous en faisons une affaire personnelle, et nous finissons par créer tout un drame pour rien du tout.

Comme nous avons peur de demander des explications, nous prêtons des intentions à autrui, nous faisons des suppositions que nous croyons vraies ; puis, nous défendons ces suppositions et nous donnons tort à l’autre.
Il vaut toujours mieux poser des questions que de faire des suppositions, parce que celles-ci nous programment à souffrir.
Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s’attirer des problèmes. Par exemple, nous supposons généralement que notre partenaire sait ce que nous voulons ; nous croyons donc ne pas avoir besoin de lui dire. Nous pensons qu’il va faire ce que nous désirons, parce qu’il nous connaît bien. Et s’il ne le fait pas, nous nous sentons blessés et lui reprochons : « Tu aurais dû le savoir. »

Il est très intéressant de voir comment l’esprit humain fonctionne. Nous avons besoin de tout justifier, de tout expliquer, de tout comprendre, afin de nous rassurer.
Nous supposons que tout le monde voit la vie comme nous la voyons. Nous supposons que les autres pensent comme nous pensons, qu’ils ressentent les choses comme nous les ressentons, qu’ils jugent comme nous jugeons. Voilà la supposition la plus importante que font les humains. C’est la raison pour laquelle nous craignons d’être nous-mêmes avec les autres, car nous pensons qu’ils vont nous juger, nous maltraiter et nous critiquer, comme nous le faisons nous-mêmes. C’est pourquoi, avant même que les autres puissent nous rejeter, nous nous sommes déjà rejetés nous-mêmes.

On fait également des suppositions sur soi-même, ce qui provoque beaucoup de conflits intérieurs : « Je pense que je suis capable de faire telle chose. » Vous supposez cela, puis vous découvrez que ce n’est pas le cas. Vous vous sur estimez ou vous vous sous estimez tout le temps car vous ne prenez pas le temps de vous poser des questions et d’y répondre.
Souvent, lorsque vous démarrez une relation avec quelqu’un que vous aimez, vous devez le justifier. Vous ne voyez en lui que ce que vous voulez bien voir, et vous niez l’existence d’aspects que vous n’aimez pas. Vous vous mentez à vous-même afin de vous donner raison. Puis vous faites des suppositions, l’une d’entre elles étant : « Mon amour va transformer cette personne. » Mais ce n’est pas vrai. Votre amour ne transformera personne. Si les autres se transforment, c’est parce qu’ils veulent changer et non parce que vous en avez le pouvoir. Puis un incident se produit entre vous deux et vous vous sentez blessé. Vous voyez tout d’un coup ce que vous refusiez de voir avant, désormais amplifié par votre poison émotionnel. Il vous faut maintenant justifier votre douleur émotionnelle en rendant l’autre responsable de vos choix.

Le meilleur moyen de vous empêcher de faire des suppositions est de poser des questions. Vérifiez que vos communications soient claires. Si vous ne comprenez pas, demandez. Utilisez votre voix pour demander ce que vous voulez. Chacun a le droit de vous dire « oui » ou « non », et vous-même avez toujours le droit de demander. Inversement, tout le monde peut vous interroger et vous avez la possibilité de dire « oui » ou « non ».

En communiquant clairement, toutes vos relations vont changer. Vous n’aurez plus besoin de faire de suppositions, car tout deviendra clair. « Voici ce que je veux ; voilà ce que vous voulez. » Si nous communiquons ainsi, notre parole devient impeccable.

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« Quoique qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle. »

Quoiqu’il arrive autour de vous, n’en faites pas une affaire personnelle. Vous faites une affaire personnelle de ce qui vous est dit parce que vous y donnez votre accord. La raison pour laquelle vous vous faites piéger est ce que l’on appelle l’importance personnelle, c’est-à-dire l’importance que l’on se donne, se prendre au sérieux ou faire de tout une affaire personnelle.
Vous n’êtes aucunement responsable de ce que les autres disent ou font. Leurs actions dépendent d’eux-mêmes. Chacun vit dans son propre rêve, dans sa propre tête ; chacun est dans un monde totalement différent de celui dans lequel vous vivez. Lorsque nous faisons de tout une affaire personnelle, nous partons du principe que l’autre sait ce qu’il y a dans notre monde, et nous essayons d’opposer notre monde au sien. Nous pouvons aussi nous sentir offensé et notre réaction consiste à défendre nos croyances, ce qui provoque des conflits.

Ce que les gens disent, ce qu’ils font et les opinions qu’ils émettent dépendent seulement des accords qu’ils ont conclus dans leur propre esprit. Leur point de vue résulte de toute la programmation qu’ils ont subie dans leur enfance.
Même les opinions que nous avons sur nous ne sont pas nécessairement vraies ; nous ne sommes donc pas obligés de réagir personnellement à ce que nous nous disons dans notre tête.

En prenant les choses personnellement, on se programme à souffrir pour rien. Les humains sont d’accord pour s’aider mutuellement à souffrir, ils cherchent une justification à leur souffrance. Leur dépendance à la souffrance n’est en fait qu’un accord qu’ils renforcent chaque jour.

Où que vous alliez, vous découvrirez des gens qui vous mentent et, à mesure que votre conscience augmentera, vous vous rendrez compte que vous vous mentez également à vous-même. Ne vous vous attendez pas à ce que les gens vous disent la vérité, car ils se mentent aussi à eux-mêmes. Vous devez vous faire confiance et choisir de croire ou non ce que l’on vous dit.
Lorsqu’on voit vraiment comment sont les gens, sans réagir de façon personnelle, rien de ce qu’ils peuvent dire ou faire ne peut nous blesser. Même si l’on vous ment, cela ne fait rien. Celui qui agit ainsi le fait car il a peur, peur que vous découvriez qu’il n’est pas parfait. C’est douloureux de retirer son masque social.

Au fur et à mesure que vous prendrez l’habitude de cet accord, les commentaires et actions des gens ne pourront plus vous blesser et vous augmenterez votre capacité à effectuer des choix responsables.

Si vous respectez cet accord, vous pouvez voyager dans le monde entier, le cœur totalement ouvert, et personne ne peut vous blesser. Vous pouvez dire : « Je t’aime » sans crainte du ridicule ou du rejet. Vous pouvez demander ce dont vous avez besoin. Vous pouvez dire « oui » ou « non », selon ce que vous choisissez, sans culpabilité ni jugement de soi. Vous pouvez choisir de toujours suivre votre cœur et vivre dans la paix intérieure et le bonheur.

 

Troisième accord toltèque :

« Ne faites pas de suppositions. »

Nous avons tendance à faire des suppositions à propos de tout. Le problème est qu’ensuite nous croyons qu’elles sont la vérité. Nous faisons des suppositions sur ce que les autres font ou pensent, forts de quoi nous en faisons une affaire personnelle, puis nous leur en voulons et nous leur communiquons du poison émotionnel par nos propos. Nous faisons des suppositions quant aux raisons d’agir d’autrui, nous les interprétons de travers, nous en faisons une affaire personnelle, et nous finissons par créer tout un drame pour rien du tout.

Comme nous avons peur de demander des explications, nous prêtons des intentions à autrui, nous faisons des suppositions que nous croyons vraies ; puis, nous défendons ces suppositions et nous donnons tort à l’autre.
Il vaut toujours mieux poser des questions que de faire des suppositions, parce que celles-ci nous programment à souffrir.
Faire des suppositions à propos de nos relations est le moyen le plus sûr de s’attirer des problèmes. Par exemple, nous supposons généralement que notre partenaire sait ce que nous voulons ; nous croyons donc ne pas avoir besoin de lui dire. Nous pensons qu’il va faire ce que nous désirons, parce qu’il nous connaît bien. Et s’il ne le fait pas, nous nous sentons blessés et lui reprochons : « Tu aurais dû le savoir. »

Il est très intéressant de voir comment l’esprit humain fonctionne. Nous avons besoin de tout justifier, de tout expliquer, de tout comprendre, afin de nous rassurer.
Nous supposons que tout le monde voit la vie comme nous la voyons. Nous supposons que les autres pensent comme nous pensons, qu’ils ressentent les choses comme nous les ressentons, qu’ils jugent comme nous jugeons. Voilà la supposition la plus importante que font les humains. C’est la raison pour laquelle nous craignons d’être nous-mêmes avec les autres, car nous pensons qu’ils vont nous juger, nous maltraiter et nous critiquer, comme nous le faisons nous-mêmes. C’est pourquoi, avant même que les autres puissent nous rejeter, nous nous sommes déjà rejetés nous-mêmes.

On fait également des suppositions sur soi-même, ce qui provoque beaucoup de conflits intérieurs : « Je pense que je suis capable de faire telle chose. » Vous supposez cela, puis vous découvrez que ce n’est pas le cas. Vous vous sur estimez ou vous vous sous estimez tout le temps car vous ne prenez pas le temps de vous poser des questions et d’y répondre.
Souvent, lorsque vous démarrez une relation avec quelqu’un que vous aimez, vous devez le justifier. Vous ne voyez en lui que ce que vous voulez bien voir, et vous niez l’existence d’aspects que vous n’aimez pas. Vous vous mentez à vous-même afin de vous donner raison. Puis vous faites des suppositions, l’une d’entre elles étant : « Mon amour va transformer cette personne. » Mais ce n’est pas vrai. Votre amour ne transformera personne. Si les autres se transforment, c’est parce qu’ils veulent changer et non parce que vous en avez le pouvoir. Puis un incident se produit entre vous deux et vous vous sentez blessé. Vous voyez tout d’un coup ce que vous refusiez de voir avant, désormais amplifié par votre poison émotionnel. Il vous faut maintenant justifier votre douleur émotionnelle en rendant l’autre responsable de vos choix.

Le meilleur moyen de vous empêcher de faire des suppositions est de poser des questions. Vérifiez que vos communications soient claires. Si vous ne comprenez pas, demandez. Utilisez votre voix pour demander ce que vous voulez. Chacun a le droit de vous dire « oui » ou « non », et vous-même avez toujours le droit de demander. Inversement, tout le monde peut vous interroger et vous avez la possibilité de dire « oui » ou « non ».

En communiquant clairement, toutes vos relations vont changer. Vous n’aurez plus besoin de faire de suppositions, car tout deviendra clair. « Voici ce que je veux ; voilà ce que vous voulez. » Si nous communiquons ainsi, notre parole devient impeccable.

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